Littérature

durée : 01:00:14 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - Si les "Lettres à un jeune poète" de Rainer Maria Rilke sont mondialement connues, l’ensemble de la correspondance n’a été publié qu’en 2019 : ces onze lettres écrites par le "jeune poète", Franz Xaver Kappus, offre un nouvel éclairage sur les mots de Rilke, leur sagesse et leur bienveillance.

durée : 00:28:52 - Le Feuilleton - "Un seul cœur aura battu en nous qu’on entendra encore, nous disparus, dans le mystère du monde." A.C. - réalisation : Blandine Masson

durée : 00:28:43 - Le Feuilleton - "Dix ans de vie partagée nouent à jamais deux êtres aux entrailles du monde et ils ne peuvent plus s’arracher l’un de l’autre sans s’arracher au cœur du monde." M.C. - réalisation : Blandine Masson

durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - "Ne comprends-tu pas que je t'aime aussi, ainsi, enfermé, promettant des pages qui nous aideront à vivre ?" M.C. - réalisation : Blandine Masson

durée : 00:28:41 - Le Feuilleton - "À bientôt, ma beauté, mon endormie, ma réveillée, ma douceur, ma fureur. J’embrasse longuement ta chère bouche, tes épaules noires, le creux de tes mains." A.C. - réalisation : Blandine Masson

durée : 00:27:31 - Lectures du soir - Jean-Noël Schifano lit des extraits des Chroniques italiennes.

durée : 00:27:54 - Lectures du soir - Avec Max Genève lit des extraits de Le Rouge et le noir et de La vie de Henry Brulard.

durée : 00:27:34 - Lectures du soir - Danièle Sallenave lit des extraits de La Chartreuse de Parme.

durée : 00:28:10 - Lectures du soir - Avec Dominique Fernandez lit des extraits de Armance. La lettre à Mérimée est lue par Maurice Antoni.

durée : 00:27:30 - Lectures du soir - Françoise Lebrun lit des extraits de Racine et Shakespeare et de La vie de Henry Brulard. Première diffusion le 23 mars 1992

durée : 00:28:37 - Le Feuilleton - "Un amour, Maria, ça ne se conquiert pas sur le monde mais sur soi-même. Et tu sais bien, toi dont le cœur est si merveilleux, que nous sommes nos plus terribles ennemis." A.C.

durée : 00:20:38 - Le Feuilleton - " Aujourd’hui, 3 mai 1915, j’en ai fini avec la psychanalyse. Après six mois de séances assidues, je vais plus mal qu’avant. Je n’ai pas encore donné congé à mon médecin mais ma décision est irrévocable." - invités : Italo Svevo Écrivain; Arno Bertina Écrivain

durée : 00:19:06 - Le Feuilleton - " Sans deviner l’importance de ce qu’il me disait, le médecin m’avait confié qu’il avait retrouvé le flacon de Véronal. Du Véronal pur et non du Véronal au sodium. Mieux que quiconque je pouvais être certain que Guido n’avait pas voulu mourir."

durée : 00:19:59 - Le Feuilleton - " La vie n’est ni belle ni laide, elle est originale ! Qualifiée de la sorte, la vie me parut si étrange que je la regardai longtemps comme si je la voyais pour la première fois, avec ses corps gazeux, fluides, solides."

durée : 00:19:59 - Le Feuilleton - " Carla m’avait congédié un mois plus tôt, Carmen me repoussait maintenant, Ada la première… Toutes ces femmes qui me repoussaient résolument donnaient à ma vie une teinte littéralement tragique. Je n’avais jamais traversé de période aussi funeste."

durée : 00:18:59 - Le Feuilleton - "Je ne sais si vous vous êtes déjà retrouvé dans cette configuration docteur, mais quand deux hommes s’associent aucun des deux n’est en mesure, je crois, de choisir lequel des deux sera Sancho, et lequel Don Quichotte…"

durée : 00:17:52 - Le Feuilleton - " Pour ma santé, il aurait été pénible que ma liaison avec Carla se déroulât dans un climat d’agitation perpétuelle. A dater de ce jour, mes visites furent entrecoupées de pauses nécessaires à raviver mon amour pour Carla aussi bien que pour Augusta " - invités : Italo Svevo Écrivain; Arno Bertina Écrivain

durée : 00:19:38 - Le Feuilleton - " Le jour du premier baiser donné à Carla, quand je suis ensuite rentré chez moi, j’ai commencé à être vraiment malheureux. Entre Augusta et moi s’interposait mon aventure, une grande ombre noire. Je me sentais mesquin, coupable, et malade."

durée : 00:19:59 - Le Feuilleton - "Je n’arrêtais pas de tromper Augusta par la pensée. En fait le désir de l’aventure était toujours aussi vif en moi, cette aventure qui commence par l’admiration d’une bottine par exemple, ou d’un gant. D’une jupe aussi..."

durée : 00:19:40 - Le Feuilleton - "J’aimais Ada, mais j’épouserais Augusta..."