Littérature

durée : 00:18:42 - La Série fiction - Gaud espère au fond d'elle qu'elle réussira à retenir au pays, Yann, son marin. Et que ce voyage sera le dernier.

durée : 00:18:54 - La Série fiction - C’était six jours avant le départ pour l’Islande. Le cortège de noces de Yann et Gaud s’en revenait de l’église de Ploubazlanec, pourchassé par un vent furieux, sous un ciel chargé et tout noir.

durée : 00:19:46 - La Série fiction - Le retour des marins en bretagne !

durée : 00:19:06 - La Série fiction - Yann, le frère de Sylvestre reçoit une lettre qui annonce sa mort.

durée : 00:19:54 - La Série fiction - Les Chinois commençaient à reculer....Sylvestre, lui continuait d'avancer !

durée : 00:19:58 - La Série fiction - Un jour on appela Sylvestre au bureau de sa compagnie ; on avait à lui annoncer qu’il était désigné pour la Chine, pour l’escadre de Formose ! Il partait à la guerre.

durée : 00:19:43 - La Série fiction - La pêche allait assez vite ; en regardant dans l’eau reposée, on voyait très bien la chose se faire : les morues venir mordre, d’un mouvement glouton ; ensuite se secouer un peu, se sentant piquées, comme pour mieux se faire accrocher le museau.

durée : 00:19:37 - La Série fiction - En souriant, Yann regardait Gaud bien dans les yeux, chaque fois qu’il avait dit quelque chose, pour voir ce qu’elle en pensait. Et comme son regard restait bon et honnête, tandis qu’il racontait tout cela pour qu’elle fût bien prévenue qu’il n’était pas riche !

durée : 00:19:09 - La Série fiction - "Quel silence après Paris. Ce train de vie tranquille de gens d’un autre monde, allant dans la brume à leurs toutes petites affaires. Ces vieilles maisons en granit noir. Toutes ces choses bretonnes, une tristesse si désolée"

durée : 00:28:51 - La Série fiction - "8 mars 2020. Alma, élève de terminale au Havre, annonce à son petit copain, Alex, qu’elle le quitte. Le lendemain à Nanterre, Laure rejoint Shanley, une étudiante en science politique, qui lance un blocus féministe de sa fac…"

durée : 01:48:40 - Fictions / Théâtre et Cie - " Pourquoi créez-vous ? " Onze autrices de différents pays francophones racontent leur parcours de création. Des histoires de vie, d’identité, de lieux, de genre, de société ou d’histoires dont il faut parfois s’extirper afin de retrouver cette chambre à soi si chère à Virginia Woolf.

durée : 00:19:53 - Lectures du soir - "Je voudrais faire des livres où il n’y eût qu’à écrire des phrases, si l’on peut dire cela, comme pour vivre, il n’y a qu’à respirer de l’air."

durée : 00:28:46 - La Série fiction - Isadora rêve toujours d’un orchestre de danseuses qu’elle aurait formées à la libre expression de l’âme dans la beauté des corps en mouvement - réalisation : Sophie-Aude Picon

durée : 00:20:09 - Lectures du soir - "T’aperçois-tu que je deviens moraliste ? Est-ce un signe de vieillesse ? je tourne certainement à la haute comédie, j’ai quelques fois des prurits atroces d’engueuler les humains ! "

durée : 00:28:50 - La Série fiction - Après son séjour en Grèce, Isadora Duncan fonde sa première école à Berlin, dans le quartier de Grünewald, où elle s’occupe, avec sa sœur, d’enseigner son art. - réalisation : Sophie-Aude Picon

durée : 00:19:21 - Lectures du soir - "La poésie n’est point une débilité de l’esprit, mais ses susceptibilités nerveuses en sont une, cette faculté de sentir outre-mesure est une faiblesse… "

durée : 00:28:45 - La Série fiction - En juillet 1903, Isadora part pour la Grèce, pays qui est pour elle le berceau de tous les arts, l’autel sacré de l’harmonie des mouvements de l’âme et du corps. - réalisation : Sophie-Aude Picon, François Christophe

durée : 00:20:15 - Lectures du soir - "Je suis d’une tristesse de cadavre, d’un embêtement démesuré, ma sacrée Bovary me tourmente et m’assomme."

durée : 00:28:44 - La Série fiction - En 1899, lassée de l’incompréhension des Américains face à son art, Isadora Duncan décide de partir pour l’Europe et s’installe à Paris au printemps de 1900. - réalisation : Sophie-Aude Picon

durée : 00:19:54 - Lectures du soir - "Je me suis reconnu plus petit et j’ai mis toute ma raison dans l’observation de ma nature, de son fond et de ses limites surtout."