Littérature

durée : 00:19:51 - Lectures du soir - " Août 1870 : Es-tu à Paris ? Au milieu de cette tourmente ? Quelle leçon reçoivent les peuples qui veulent des maîtres absolus. France et Prusse s’égorgeant pour des questions qu’elles ne comprennent pas. Nous voilà dans de grands désastres. "

durée : 00:28:48 - Le Feuilleton - " Son corps est souple, il part tout entier dans la jouissance comme s’il était grand, en âge, il est sans malice, d’une intelligence effrayante."

durée : 00:19:55 - Lectures du soir - " Le mot pignouf a sa profondeur, il a été créé pour le bourgeois exclusivement, n’est-ce pas ? Sur cent bourgeoises de province, quatre-vingt-dix sont pignouflardes, et même avec de jolies petites mines qui annonceraient des instincts délicats."

durée : 00:28:46 - Le Feuilleton - " Parfois je ne rentre pas à la pension, je dors près de lui. Il me douche, il me lave, il me rince, il adore, il me farde et il m’habille, il m’adore. "

durée : 00:20:14 - Lectures du soir - " J’éprouve une répulsion invincible à mettre sur le papier quelque chose de mon cœur. Je trouve même qu’un romancier n’a pas à exprimer son opinion sur quoi que ce soit. Est-ce que le bon Dieu l’a jamais dite, son opinion ? "

durée : 00:28:48 - Le Feuilleton - " L’homme élégant est descendu de la limousine, il fume une cigarette anglaise. Il regarde la jeune fille au feutre d’homme et aux chaussures d’or. "

durée : 00:22:31 - Lectures du soir - La reconnaissance et l’épanouissement viennent souvent avec le temps.

durée : 00:11:16 - Lectures du soir - Tout a une utilité, même ce qui semble insignifiant.

durée : 00:11:23 - Lectures du soir - La beauté réside souvent dans la simplicité.

durée : 00:09:05 - Lectures du soir - L’amour peut déployer des forces inimaginables.

durée : 00:12:02 - Lectures du soir - Courage et détermination face aux caprices du destin.

durée : 00:10:06 - Lectures du soir - Orgueil et vanité des petits.

durée : 00:11:38 - Lectures du soir - Orgueil et vanité des puissants.

durée : 00:04:00 - Lectures du soir - La vraie noblesse n’est-elle pas la sensibilité ?

durée : 00:17:26 - Lectures du soir - La fin justifie-t-elle les moyens ?

durée : 00:20:09 - Lectures du soir - " J’ai beaucoup rêvé et très peu exécuté. Le sens du grotesque m’a retenu sur la pente des désordres. Je maintiens que le cynisme confine à la chasteté."

durée : 00:28:50 - Le Feuilleton - " Ici je parle des périodes cachées de ma jeunesse, de certains enfouissements que j’aurais opérés sur certains faits, sur certains sentiments."

durée : 00:57:31 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - Lola, étudiante en cinéma, part à Nantes sur les traces de Jacques Demy, son réalisateur préféré. Elle rencontre Simon, libraire, et sa grand-mère Cécile, qui toute sa vie a voué une passion au cinéaste.

durée : 00:20:04 - Lectures du soir - " Interrogez notre ami Goncourt, s’il est franc, il vous avouera que la littérature française n’existait pas avant Balzac. Voilà où mènent l’abus de l’esprit et la peur de tomber dans les poncifs."

durée : 00:28:38 - Le Feuilleton - L’état de santé de Marianne s’étant dégradé, les deux sœurs n’ont pu faire le voyage jusqu’à Barton. Elles sont restées chez les Palmer à Cleveland où leur mère doit les rejoindre accompagnée par le colonel Brandon.